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Le rouge gazon et la chaume des neufs bois

Le site classé du Rouge Gazon vous accueille dans son écrin de verdure.

Havre de paix et de détente, cette chaume est une création humaine, elle était exploitée en guise de pature d’estive par les marcaires. Quelques vaches fréquentent encore les étendues herbeuses en été.

De beaux sentiers de randonnées, vous guideront vers les sommets les plus proches, vous offrant de splendides panoramas.

Des circuits à VTT (ou en raquettes l’hiver) s’offrent également à vous, pour admirer lacs et forêts de sapins, chamois ou fermes typiques.

Attention l’hôtel-restaurant du Rouge-Gazon n’est pas exploité cette année.

 

 

 

 

 

Source marie – eau ferrugineuse

La Source Marie est le dernier vestige de l’ancienne station thermale qu’était Bussang.

Entourée d’un joli parc, la source Marie est abritée par un kiosque dont l’entrée est libre, et permanente où l’on peut déguster gratuitement l’eau minérale gazeuse naturellement, préconisée à l’époque pour le traitement de l’anémie car riche en fer.

Elle se situe au bout d’un joli chemin, à droite sur la route des sources (D89) au niveau du gîte « Les Sources », en contre-bas de la route nationale montant au col de Bussang, à la sortie du village.

 

 

 

Le drumont – table d’orientation

À 1 200 m une table d’orientation du club alpin français datant de 1891 explique le merveilleux panorama circulaire.

Le coup d’œil sur la vallée découvre Bussang, niché sur le flanc de la Tête des Corbeaux. Le panorama sur le Ballon d’Alsace, le Rossberg et le Grand Ballon est tout simplement grandiose.

Au sud, par temps très clair, on voit les Alpes Suisses.

Le panorama offre une alternance de sommets boisés et de vallées urbanisées.

L’accès au Drumont n’est pas possible en hiver, la route n’étant pas dégagée.

Les plus courageux peuvent tenter de le rejoindre en raquettes !

 

 

 

 

Moulin a huile

Un Moulin qui tourne : le Moulin à huile de Storckensohn fabrique de l’huile depuis 1732. Noix, colza, tournesol étaient pressés sur place pour les habitants des alentours.

A partir d XIXè siècle le moulin se lance dans la fabrication de jus de pomme. En 1991, la restauration du moulin est entreprise par un groupe  de bénévoles, soutenu par la commune et le propriétaire du moulin.

Les démonstrations de fabrication d’huile de noix et de jus de pomme à l’ancienne peuvent alors reprendre.

Vous serez accueillis dans une maison typique du d’ouvrier paysan montagnard du XIXè siècle.

L’huilerie artisanale,  ouverte depuis 2008, transforme à l’ancienne, tout au long de l’année, noix et noisettes en une délicieuse huile parfumée et très bonne pour la santé ainsi que de la farine de noix ou de noisettes.

Vous avez des noix ? Apportez vos cerneaux et repartez avec l’huile de vos propres noix. Uniquement sur rendez-vous, prise de contact par téléphone ou par mail.

La boutique : huile de noix ou noisette, savons artisanaux, farines de noix et noisettes, produits à base de noix, et artisanaux …. Avis aux gourmands ! De nombreuses idées cadeaux 

Horaires d’ouverture :  le 1er et 3ème dimanche du mois de 14h à 17h30  en avril,mai, juin, septembre et octobre et du mercredi au dimanche de 14h à 17h30 en juillet et août. Pour les groupes, toute l’année, sur rendez-vous.

 

 

Église de fresse-sur-Moselle

L’histoire de l’église Saint-Brice de FRESSE-SUR-MOSELLE :
Au 10ème siècle : Les habitants de la commune de FRESSE-SUR-MOSELLE appartenaient à la paroisse de RAMONCHAMP, chrétienté et doyenné de REMIREMONT, diocèse de TOUL.

Lorsque la commune de FRESSE-SUR-MOSELLE eut sa première église, elle reçut une contribution de l’église mère de RAMONCHAMP pour sa construction et son aménagement. Cette église n’était qu’une chapelle de secours et non un temple de culte.

Le 22 décembre 1640 : Permission de célébrer des messes de dévotion la semaine.

En 1665 : Faculté d’y administrer des baptêmes puis en 1737 : Date à laquelle la paroisse devient indépendante.

En 1741 : Installation d’un presbytère, son premier vicaire était Messire COUSERAT.
Le 05 juin 1803 : Premier curé de la paroisse, l’abbé BONNABE.
Le 04 décembre 1856 : Travaux de démolition de l’ancienne église qui tombait en ruines et de la construction de l’église actuelle. Celle-ci fut achevée, aménagée et ouverte au culte en 1863.
En 1863 : Couverture de l’Eglise puis en 1880 : Installation de l’orgue à la tribune.
En 1892 : Installation d’une troisième cloche. En 1926 : Décoration intérieure de l’église.
En 1934 : Electrification des cloches.
En 1936 :Affermissement des vitraux disjoints et pose d’une double cloison en verre cathédrale.
En 1937 : Installation du chauffage et construction des sacristies.
En 1947 : Remplacement complet de l’orgue.

 

 

La chapelle de pitié

La Chapelle de Pitié se situe au lieu dit « Les Granges ». Elle a été détruite lors de la dernière guerre et a été reconstruite juste après la guerre. Elle a été restaurée par les bénévoles de l’association de la Voye.

Bombardée par l’artillerie alliée le 20 octobre  1944, reconstruite par l’abbé Cunat en 1948 avec l’argent des dommages de guerre, la chapelle rénovée est à présent un des plus beaux fleurons de notre patrimoine local.

A l’initiative de la Voye, le projet a été lancé fin 2010 avec le partenariat de la mairie, et l’inauguration a eut lieu lors de la journée du patrimoine le dimanche 17 juin 2012.

Dès le printemps 2011 les travaux débutent pour améliorer l’accès, puis  le démontage de la charpente et  la construction des murs en pierres sèches.

Ensuite, 13 hommes et 8 femmes bénévoles se retrouvent régulièrement les weekends pour poursuivre les travaux : décrépissage des murs et réalisation d’un enduit à la chaux.

Puis c’est au tour de la charpente d’être entièrement refaite, le toit recouvert d’ardoises, les murs rehaussés  et les fenêtres encadrées de pierres de grès s’enrichissent de superbes vitraux.

A l’intérieur, la piéta prend place dans une nouvelle niche et la croix et les décors de la grille restaurée sont dorés à la feuille. Le sol se pare de dalles de grès.

Pour finir, l’espace autour de la chapelle est réaménagé.

Accessible en voiture et ouverte toute l’année.

 
 

 

 

Église de Bussang

L’église a été construite en 1733. Le clocher de l’église est le troisième, la date du dernier est sous le porche : 1894. Les deux clochers antérieurs furent détruits, le 1er par un incendie, le 2ème par la foudre. L’actuel qui parait rétréci a été voulu ainsi, le Conseil Municipal d’alors ne voulant pas se risquer à monter une troisième flèche.

L’église est dédiée à Sainte Barbe, patronne entre autres des mineurs. Le maitre-autel situé dans le chœur est celui que l’abbé Morizot a fait composer avec le cuivre des mines de Bussang. C’est une pantographie voltaïque représentant la mise au tombeau.
Dans le chœur de magnifiques stalles et une chaire abbatiale, rappellent que les boiseries proviennent de l’abbaye de Moyenmoutier. Démontées à la Révolution française, entreposées dans les greniers de la Préfecture d’Épinal; elles furent achetées par la Commune de Bussang pour son église.

Quant aux stations de chemin de la croix, il est rare d’en voir d’aussi grandes. Elles ne sont pas signées, mais elles doivent aussi provenir d’une école de moines.

L’église de Bussang abrite  un orgue qui  a fait l’objet d’une protection au titre des monuments historiques en 2013 au même titre que les stalles, l’autel, le chemin de croix ainsi que les lustres. Cet instrument a été construit par le facteur d’orgues Jean-Nicolas JEANPIERRE en 1838. Il présente un intérêt important pour le patrimoine organologique des Vosges car il est un témoin intéressant de la facture d’orgues Vosgiennes du début du 19ème siècle. Il est composé de nombreuses pièces dont notamment 1 clavier de 56 notes.

Les portes sont ouvertes tous les jours de 10h à 16h sauf le dimanche et par grand mauvais temps.

 

 

La chapelle botiotte

Cette chapelle est située en pleine forêt de la vallée des Charbonniers : sa vocation première est un refuge où l’on peut se réchauffer et se restaurer avec le repas tiré du sac. Elle a été édifiée en 1857 par quelques habitants de la contrée. Lors de travaux d’élargissement du chemin, la suppression d’un énorme rocher laissa une place suffisante qui parut aux ouvriers un lieu tout préparé pour une chapelle. Vite s’éleva un petit édifice, dans lequel on plaça une statue de Marie.
La petite chapelle fut agrandie en 1873 à ses dimensions actuelles. Parmi les artisans de cet agrandissement se trouvait un épicier des Charbonniers, bien connu des bûcherons pour les petites bouteilles qu’il leur vendait, d’où son surnom de Botiotte, désormais attaché à la chapelle et placée sous le vocable de Notre-Dame-de-Bon-Secours.

Cette Chapelle peut être un but de promenade bien agréable dans le silence de la forêt, là où demeurent encore des vestiges des mines exploitées au cours des siècles passés au profit des ducs de Lorraine.

 

 

Le ballon de servance

Le Ballon de Servance est le toit de la Haute-Saône, il culmine à 1 216 m et se présente comme le plus méridional des Ballons des Vosges.

Il est reconnaissable grâce au radar qui culmine à son sommet. Tout boisé, tout rond, habillé de versants doux, il regarde à l’Est le Ballon d’Alsace (1 247 m) séparé de lui par le Col du Stalon (958 m), et à l’Ouest, il domine la Haute-Vallée de l’Ognon.

Le Ballon de Servance et le Ballon d’Alsace sont les géants incontestés des Vosges Comtoises.

Le massif du Ballon de Servance est très vaste, il comporte 4 lignes de crêtes, dont une qui se dresse en frontière naturelle et historique avec la Lorraine.

Sur le sentier du flanc Est, il offre un magnifique point de vue sur la Planche-des-Belles-Filles, reconnaissable à ses trois bosses, le Ballon d’Alsace, et par temps clair les Alpes Suisses.

Au Col du Luthier (près du refuge), admirez un panorama sur la Vallée de la Moselle, vous pouvez poursuivre et rejoindre le Ballon d’Alsace par le GR5. 

Les chiens ne sont pas admis même tenus en laisse sur le secteur des zones protégées du Ballon de Servance.

Les informations concernant la Réserve Naturelle des Ballons Comtois sont téléchargeables ci-dessous :

 

 

Belfort et le lion de bartholdi

LE LION DE BELFORT est une sculpture monumentale en haut-relief du sculpteur alsacien Frédéric Bartholdi, située à Belfort au pied de la falaise de la citadelle. Elle représente un lion couché et blessé prêt à se dresser qui repose sur un piédestal en rocaillage et commémore la résistance de la ville assiégée par les Prussiens durant la guerre de 1870 à l’issue de laquelle la zone correspondant à l’actuel Territoire de Belfort sera la seule partie de l’Alsace à rester française.

LA CITADELLE : Dominant les rochers, elle s’impose sur Belfort. L’œuvre du comte de la Suze marque l’histoire de la ville qu’elle a en son temps protégée des assaillants. Fossés, remparts ou Tour des Bourgeois…

LE GRAND SOUTERRAIN : le Grand Souterrain et ses projections de haute volée offre une visite où modernité et patrimoine se marient dans une scénographie composée de panoramiques sons et lumières.

Visite de la vieille ville et de la Citadelle de Belfort avec LE PETIT TRAIN TOURISTIQUE pour découvrir la ville et ses monuments incontournables…

LA TERRASSE PANORAMIQUE : Située au dessus du Musée d’Histoire, elle offre une vue à 360° de la ligne bleue des Vosges aux contreforts du Jura, ainsi que sur la vieille ville de Belfort.

 

 

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