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La Chapelle des Vés

Situé à 767m d’altitude, la Chapelle des Vés de Fresse sur Moselle a été construite en 1863 par les agriculteurs de la colline de Fresse sur Moselle avec des matériaux provenant de l’ancienne église du village.
Son évolution :
– 1939-1945 : La Chapelle subit de gros dégâts… seuls les murs restent debout.
– 1948 : La commune de Fresse/Moselle reconstruit la Chapelle qui se voit adjoindre un abri pour les promeneurs.
– 1996 : 2 bénévoles Fressiots engagent un projet de rénovation de la Chapelle avec pour but qu’elle retrouve son cachet originel de 1863.
– 1998 : Grâce au soutien de la municipalité qui accepte de financer les matériaux, les travaux peuvent débuter. Une cinquantaine de bénévoles, pour la plupart d’anciens ouvriers ou artisans en retraite, travaillent dans les règles de l’art et de la tradition en utilisant les techniques d’autrefois. Les compagnons du devoir très intéressés par le projet offrent l’étude technique, la réalisation et le montage de la flèche, conformément aux techniques du 17ème siècle.
– Le 25 Juin 2000, la Chapelle des Vés est inaugurée en présence notamment de Christian Poncelet, président du conseil général des Vosges et président du sénat.
– En novembre 2001, le travail des bénévoles est récompensé en obtenant le 1er prix du grand Nord-Est, décerné par la FNASSEM (Fédération Nationale des Associations de Sauvegarde des Sites et Ensembles Monumentaux).

Depuis l’église de Fresse sur Moselle, monter à droite vers le Bar du Centre puis suivre la Rue de la Chapelle.

 

 

 

La Chapelle des Charbonniers

Une première chapelle en planches, surmontée d’un minuscule clocher avait été édifiée en 1860 sur la Têtote, petite colline rocheuse, à l’entrée du hameau par Jean-Nicolas Aiguier, le propriétaire des lieux, aidé de quelques personnes de l’endroit. C’est pour conjurer le sort qu’il réalisa ce petit lieu de recueillement et de prière. La vallée des charbonniers était alors très peuplée, mais la population du hameau était éloignée de l’église de Saint Maurice. C’est ainsi que Nicolas Aiguier pensait implanter à la fois un lieu de recueillement  et de prière où l’on pourrait parfois entendre la messe.

Dès l’origine, la chapelle fut placée sous le double patronage de St Nicolas, patron de la Lorraine, et de la Vierge, Notre Dame de Consolation. C’est pourquoi on peut encore voir, mais malheureusement cachées par de grandes statues en plâtre, 3 autres petites statues en bois quelque peu mutilées par le temps: St Nicolas levant 3 doigts au dessus de la cuve miraculeuse, avec hélas, sa crosse brisée, St Joseph et la Vierge Marie.

La chapelle St Nicolas – Notre Dame de Consolation fut bénie par le Curé Claudel, le 6 décembre 1861, jour de la fête du saint patron de la Lorraine. Les dimanches et jours de fête, la messe y était dite régulièrement. Après la guerre de 1939-1945 et pendant plusieurs décennies fut créée la Fête des Charbonniers, le 15 août, fête de la Vierge. Ce jour là, une messe était célébrée dans la chapelle, trop petite, et à l’extérieur.

En 1987, la chapelle fait peau neuve grâce à plusieurs associations locales et à une participation financière des propriétaires du terrain.

 

 

Église de Fresse-sur-Moselle

L’histoire de l’église Saint-Brice de FRESSE-SUR-MOSELLE :
Au 10ème siècle : Les habitants de la commune de FRESSE-SUR-MOSELLE appartenaient à la paroisse de RAMONCHAMP, chrétienté et doyenné de REMIREMONT, diocèse de TOUL.

Lorsque la commune de FRESSE-SUR-MOSELLE eut sa première église, elle reçut une contribution de l’église mère de RAMONCHAMP pour sa construction et son aménagement. Cette église n’était qu’une chapelle de secours et non un temple de culte.

Le 22 décembre 1640 : Permission de célébrer des messes de dévotion la semaine.

En 1665 : Faculté d’y administrer des baptêmes puis en 1737 : Date à laquelle la paroisse devient indépendante.

En 1741 : Installation d’un presbytère, son premier vicaire était Messire COUSERAT.
Le 05 juin 1803 : Premier curé de la paroisse, l’abbé BONNABE.
Le 04 décembre 1856 : Travaux de démolition de l’ancienne église qui tombait en ruines et de la construction de l’église actuelle. Celle-ci fut achevée, aménagée et ouverte au culte en 1863.
En 1863 : Couverture de l’Eglise puis en 1880 : Installation de l’orgue à la tribune.
En 1892 : Installation d’une troisième cloche. En 1926 : Décoration intérieure de l’église.
En 1934 : Electrification des cloches.
En 1936 :Affermissement des vitraux disjoints et pose d’une double cloison en verre cathédrale.
En 1937 : Installation du chauffage et construction des sacristies.
En 1947 : Remplacement complet de l’orgue.

 

 

Église de Bussang

L’église a été construite en 1733. Le clocher de l’église est le troisième, la date du dernier est sous le porche : 1894. Les deux clochers antérieurs furent détruits, le 1er par un incendie, le 2ème par la foudre. L’actuel qui parait rétréci a été voulu ainsi, le Conseil Municipal d’alors ne voulant pas se risquer à monter une troisième flèche.

L’église est dédiée à Sainte Barbe, patronne entre autres des mineurs. Le maitre-autel situé dans le chœur est celui que l’abbé Morizot a fait composer avec le cuivre des mines de Bussang. C’est une pantographie voltaïque représentant la mise au tombeau.
Dans le chœur de magnifiques stalles et une chaire abbatiale, rappellent que les boiseries proviennent de l’abbaye de Moyenmoutier. Démontées à la Révolution française, entreposées dans les greniers de la Préfecture d’Épinal; elles furent achetées par la Commune de Bussang pour son église.

Quant aux stations de chemin de la croix, il est rare d’en voir d’aussi grandes. Elles ne sont pas signées, mais elles doivent aussi provenir d’une école de moines.

L’église de Bussang abrite  un orgue qui  a fait l’objet d’une protection au titre des monuments historiques en 2013 au même titre que les stalles, l’autel, le chemin de croix ainsi que les lustres. Cet instrument a été construit par le facteur d’orgues Jean-Nicolas JEANPIERRE en 1838. Il présente un intérêt important pour le patrimoine organologique des Vosges car il est un témoin intéressant de la facture d’orgues Vosgiennes du début du 19ème siècle. Il est composé de nombreuses pièces dont notamment 1 clavier de 56 notes.

Les portes sont ouvertes tous les jours de 10h à 16h sauf le dimanche et par grand mauvais temps.

 

 

Belfort et le Lion de Bartholdi

LE LION DE BELFORT est une sculpture monumentale en haut-relief du sculpteur alsacien Frédéric Bartholdi, située à Belfort au pied de la falaise de la citadelle. Elle représente un lion couché et blessé prêt à se dresser qui repose sur un piédestal en rocaillage et commémore la résistance de la ville assiégée par les Prussiens durant la guerre de 1870 à l’issue de laquelle la zone correspondant à l’actuel Territoire de Belfort sera la seule partie de l’Alsace à rester française.

LA CITADELLE : Dominant les rochers, elle s’impose sur Belfort. L’œuvre du comte de la Suze marque l’histoire de la ville qu’elle a en son temps protégée des assaillants. Fossés, remparts ou Tour des Bourgeois…

LE GRAND SOUTERRAIN : le Grand Souterrain et ses projections de haute volée offre une visite où modernité et patrimoine se marient dans une scénographie composée de panoramiques sons et lumières.

Visite de la vieille ville et de la Citadelle de Belfort avec LE PETIT TRAIN TOURISTIQUE pour découvrir la ville et ses monuments incontournables…

LA TERRASSE PANORAMIQUE : Située au dessus du Musée d’Histoire, elle offre une vue à 360° de la ligne bleue des Vosges aux contreforts du Jura, ainsi que sur la vieille ville de Belfort.

 

 

Randonnée Les 2 chapelles

Cette balade sauvage, dont la partie centrale se fait exclusivement sur de petits sentiers à flanc de montagne, permet de découvrir le charme des forêts vosgiennes : 12 km, dénivelé positif de 510 mètres, 4h de marche. Carte IGN de référence 3619 OT.

Point de départ : parking à droite dans le virage sous la Chapelle des Charbonniers.

Depuis le parking, descendre la route et suivre le balisage anneau rouge « Accès chapelle ». Suivre le sentier à droite « Accès chapelle » pour rejoindre la chapelle. Revenir sur vos pas et monter la route. Au virage, prendre le chemin forestier à droite anneau rouge. Au croisement, continuer à gauche anneau rouge. Rester à droite jusqu’à la prochaine intersection.

Monter le chemin le long du ruisseau sur environ 1 km puis suivre un sentier à droite qui traverse une passerelle. Rester sur ce sentier qui mène sur la gauche (direction Pont de Montbel – Les 3 Mousquetaires) jusqu’au pied du Pont de Montbel. Continuer sur ce sentier qui débouche sur un chemin forestier. (Possibilité de faire un aller-retour de 50 m pour rejoindre le pont en prenant le chemin forestier sur la gauche).

Poursuivre la randonnée en prenant le chemin à droite. Suivre le sentier à gauche anneau rouge qui surplombe le chemin. Continuer sur 1,2 km. (Au croisement, possibilité de faire un aller-retour de 600 m au Chalet des Bluets, avec un dénivelé positif de 50 mètres). Aller tout droit. Le sentier rejoint la route du Rouge Gazon (D90). Traversez-la pour prendre en face le sentier. Continuer jusqu’à la fin du sentier puis sur le chemin forestier qui mène à la Chapelle Botiotte.

Descendre le chemin forestier qui débouche sur la route. Au croisement, monter sur un chemin à droite jusqu’au banc. Suivre le sentier à gauche qui descend jusqu’à la route. Descendre sur la route à gauche puis à droite pour rejoindre le parking du point de départ.

Tracé Gpx et descriptif du parcours téléchargeables ci-dessus.

 

 

Croix de Couard

La Croix de Couard a été érigée en 1947 pour fêter le retour des prisonniers et déportés de la Seconde Guerre Mondiale.

Elle est située sur la Montagne de Couard (737 mètres) qui domine le village de Fresse-sur-Moselle et offre une belle vue sur le centre de la commune.

Les matériaux qui la composent ont été à l’époque montés à dos d’hommes par les habitants du village, y compris les enfants des écoles qui ont monté le sable par des sentiers escarpés.

Accessible uniquement à pied, on peut rejoindre ce site soit depuis le centre du village soit depuis l’étang du Frac en suivant le sentier balisé cercle rouge.

 

 

Les Hautes-Mynes

Marchez sur les traces des mineurs des ducs de Lorraine et passez plus d’une heure sous terre à la découverte d’un patrimoine étonnant creusé dans le granite entre 1560 et 1761.

Dans la mine de la Rouge-Montagne, équipés d’un casque et d’une lampe frontale, vous accéderez au coeur du réseau souterrain.

La visite de la mine est complétée par un musée : objets archéologiques, maquettes, vidéos.

Ouvert toute l’année. Casque et éclairage fournis – Prévoir de bonnes chaussures.

Une partie du parcours de visite de la mine est adaptée pour les moins de 5 ans.

Certains soirs en période de congés scolaires, les Hautes-Mynes vous proposent des visites thématiques (contes et légendes, découverte des chauves-souris, jeux de mines) : sur réservation.

Réservation fortement conseillée.

Visites pour les groupes : tous les jours, toute l’année, uniquement sur réservation.

Escape Game souterrain toute l’année, uniquement sur réservation.

Avantage/Offre Pass Vosges : Réduction accordée sur les entrées adultes soit 9,50 € au lieu de 11 €.

 

 

 

 

Circuit poussette Le Thillot

Circuit en boucle de 4,4km. Durée : 2h. Départ : parking de l’étang de Chaume.

Un parcours qui permet de savourer le côté champêtre du Thillot, entre étangs, prairies et ruisseaux, le tout agrémenté de nombreux points de vue.

1. Depuis le parking, allez à gauche jusqu’au panneau STOP. Tournez à gauche et marchez sur le trottoir.

2. Engagez-vous dans la première rue à gauche « rue du Clos Jacquot » et continuez sur le trottoir. Au panneau STOP, prenez à gauche et marchez sur le trottoir.

3. Prenez tout de suite à droite le « chemin des Bourguignons ».

4. Après 300 mètres, poursuivez sur le trottoir côté droit de la route. Au carrefour suivant, prenez à gauche le « chemin des Bourguignons ».

5. Dans la montée, sur la droite, vous apercevez un petit terrain de football. Plus loin, au « cédez-le-passage », tournez à droite.

6. Vous vous trouvez au lotissement des Ayès. Vous passez ensuite devant les chalets des Ayès.

7. Dans la descente, empruntez la première rue à droite « chemin des Echalandes ».

8. Vous vous retrouvez ensuite au carrefour du « chemin des Echalandes » et du « chemin des Bourguignons ». Vous revenez sur un tronçon de route emprunté à l’aller que vous allez suivre tout droit sur 300 mètres.

9. Quittez le tronçon de route commun avec la première partie du parcours pour vous engager à gauche dans la rue qui descend au niveau du miroir de sécurité.

10. A l’intersection située 30 mètres plus loin, prenez à gauche la voie sans issue « chemin du Clos de la Mule ».

11. La route se transforme en chemin puis longe le ruisseau. Empruntez la passerelle qui enjambe le cours d’eau puis tournez à droite.

12. Au panneau STOP, tournez à droite. A l’intersection suivante, engagez-vous à gauche dans la « rue du Pré Gérard ».

13. Au bout de la rue, au niveau de la bande STOP, tournez à gauche en direction de l’étang et marchez sur le trottoir d’en face.

14. Après 50 mètres, engagez-vous sur le chemin qui longe l’étang. Il vous suffit de le suivre pour faire le tour du plan d’eau en passant successivement devant le complexe aquatique puis le camping pour rejoindre le point de départ de la balade.

Le descriptif du circuit est téléchargeable ci-dessous.

 

 

Église de Saint-Maurice-sur-Moselle

La paroisse de Saint Maurice qui s’étendait du Pont Jean au Col de Bussang est l’une des plus anciennes de la montagne vosgienne. D’abord désignée sous le vocable de Visentine, elle prit le nom de Saint Morise (Maurice) à la fin du XIIIème siècle ou au début du XIVè siècle.
Nous ne savons rien du lieu de culte qui fut le centre de la paroisse de Visentine puis Saint Maurice. La première mention d’un prêtre date de l’abbatiat romarimontain et laisse penser que, dès cette époque, une église desservait la Haute Moselle.

En 1663, l’église fut détruite par un incendie; reconstruite avec des moyens limités en raison des longues guerres de ce siècle, elle connut le même sort en 1701 ainsi que l’école bâtie à proximité.

Le 5 juillet 1725, la nouvelle église consacrée sous l’invocation de Saint Maurice et de ses compagnons martyrs, fut inaugurée officiellement par l’Evêque et Comte de Toul.  L’église contenait 350 places. S’avérant trop exiguë pour une population de 1750 habitants, la commune en 1863 confia l’étude d’un projet d’une nouvelle construction à l’architecte Perron de Remiremont. Celui-ci présenta une église à 3 nefs, de style ogival, d’une contenance de 1075 places pour un coût estimé à 140 000 francs.  L’emplacement du vieux cimetière fut choisi.

Les travaux sont adjugés le 10 avril 1866. Les vitraux peints, commandés dès 1867 sont l’œuvre de Thiriat, peintre sur verre à Metz. La guerre de 1870 retardera la pose des cloches. Ce n’est que le 31 août 1875 que Robert Hartmann, fondeur de cloches, s’engage à livrer une sonnerie parfaite composée de 4 cloches d’un poids total de 4500 kg. Les orgues furent offertes par des mains généreuses. L’horloge date du 15 août 1883.

 

 

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