Menu spécial Nouvel An au Casino de Bussang.
Réservation par téléphone, un acompte vous sera demandé pour confirmer votre réservation.
Menu détaillé sur demande dans les bureaux de l’office de tourisme ou téléchargeable ci-dessous.
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Vente de sapins de Noël sur la place de la Mairie.
Au cours de la libération en 1944, lors des bombardements, l’église fut frappée par deux obus, tous les vitraux furent cassés….
Tous , sauf celui représentant Saint Barbe, qui lui fut miraculeusement intact ….
Les bussenets, habitants de Bussang, sous l’impulsion de l’Abée Vaché formulèrent alors ce voeux :
« Si Bussang est épargné, en remerciement, nous monterons une statue de Sainte Barbe sur la montagne la plus haute de Bussang, au lieux-dit les Évaux. »
Il s’avéra que Bussang ne souffrit pas trop matériellement. Après le conflit, les habitants purent collecter du cuivre, bronze et autres matériaux pour réaliser cette statue. L’inauguration eut lieu le 3 octobre 1948.
Sainte Barbe n’est accessible qu’à pied !
Un sentier de randonnée vous conduit depuis le centre du village jusqu’à la statue, ça grimpe un peu mais la vue sur le village vaut l’effort fourni !
Un descriptif pour y accéder est téléchargeable ci-dessous.
La carte IGN 3619 est en vente à l’office de tourisme pour plus de détails.
À 1 200 m une table d’orientation du club alpin français datant de 1891 explique le merveilleux panorama circulaire.
Le coup d’œil sur la vallée découvre Bussang, niché sur le flanc de la Tête des Corbeaux. Le panorama sur le Ballon d’Alsace, le Rossberg et le Grand Ballon est tout simplement grandiose.
Au sud, par temps très clair, on voit les Alpes Suisses.
Le panorama offre une alternance de sommets boisés et de vallées urbanisées.
L’accès au Drumont n’est pas possible en hiver, la route n’étant pas dégagée.
Les plus courageux peuvent tenter de le rejoindre en raquettes !
La Chapelle de Pitié se situe au lieu dit « Les Granges ». Elle a été détruite lors de la dernière guerre et a été reconstruite juste après la guerre. Elle a été restaurée par les bénévoles de l’association de la Voye.
Bombardée par l’artillerie alliée le 20 octobre 1944, reconstruite par l’abbé Cunat en 1948 avec l’argent des dommages de guerre, la chapelle rénovée est à présent un des plus beaux fleurons de notre patrimoine local.
A l’initiative de la Voye, le projet a été lancé fin 2010 avec le partenariat de la mairie, et l’inauguration a eut lieu lors de la journée du patrimoine le dimanche 17 juin 2012.
Dès le printemps 2011 les travaux débutent pour améliorer l’accès, puis le démontage de la charpente et la construction des murs en pierres sèches.
Ensuite, 13 hommes et 8 femmes bénévoles se retrouvent régulièrement les weekends pour poursuivre les travaux : décrépissage des murs et réalisation d’un enduit à la chaux.
Puis c’est au tour de la charpente d’être entièrement refaite, le toit recouvert d’ardoises, les murs rehaussés et les fenêtres encadrées de pierres de grès s’enrichissent de superbes vitraux.
A l’intérieur, la piéta prend place dans une nouvelle niche et la croix et les décors de la grille restaurée sont dorés à la feuille. Le sol se pare de dalles de grès.
Pour finir, l’espace autour de la chapelle est réaménagé.
Accessible en voiture et ouverte toute l’année.
L’histoire de l’église Saint-Brice de FRESSE-SUR-MOSELLE :
Au 10ème siècle : Les habitants de la commune de FRESSE-SUR-MOSELLE appartenaient à la paroisse de RAMONCHAMP, chrétienté et doyenné de REMIREMONT, diocèse de TOUL.
Lorsque la commune de FRESSE-SUR-MOSELLE eut sa première église, elle reçut une contribution de l’église mère de RAMONCHAMP pour sa construction et son aménagement. Cette église n’était qu’une chapelle de secours et non un temple de culte.
Le 22 décembre 1640 : Permission de célébrer des messes de dévotion la semaine.
En 1665 : Faculté d’y administrer des baptêmes puis en 1737 : Date à laquelle la paroisse devient indépendante.
En 1741 : Installation d’un presbytère, son premier vicaire était Messire COUSERAT.
Le 05 juin 1803 : Premier curé de la paroisse, l’abbé BONNABE.
Le 04 décembre 1856 : Travaux de démolition de l’ancienne église qui tombait en ruines et de la construction de l’église actuelle. Celle-ci fut achevée, aménagée et ouverte au culte en 1863.
En 1863 : Couverture de l’Eglise puis en 1880 : Installation de l’orgue à la tribune.
En 1892 : Installation d’une troisième cloche. En 1926 : Décoration intérieure de l’église.
En 1934 : Electrification des cloches.
En 1936 :Affermissement des vitraux disjoints et pose d’une double cloison en verre cathédrale.
En 1937 : Installation du chauffage et construction des sacristies.
En 1947 : Remplacement complet de l’orgue.
Le Drumont est le sommet du massif des Vosges qui se situe à Bussang. D’une altitude de 1200 mètres, il offre un panorama remarquable.
Une table d’orientation du club alpin français datant de 1891 explique le merveilleux panorama circulaire. Le coup d’œil sur la vallée découvre Bussang, niché sur le flanc de la Tête des Corbeaux. Le panorama sur le Ballon d’Alsace, le Rossberg et le Grand Ballon est tout simplement grandiose. Au sud, par temps très clair, on voit les Alpes Suisses. Le panorama offre une alternance de sommets boisés et de vallées urbanisées.
La chaume du Drumont est une estive typiquement vosgienne où les vaches produisent le lait pour la production du fromage de Munster et la tome.
Les sentiers balisés offrent des parcours pour les randonneurs de tout niveau.
Le sommet est fréquenté par les parapentistes mais aussi des amateurs de modélisme qui font voler leurs modèles réduits.
Mais le Drumont est aussi un haut lieu de résistance, la Chaume du Drumont fut incendiée par les Allemands le 23 septembre 1944. Une plaque évoque le sacrifice des volontaires lors des combats de 1944.
Une ferme auberge vous proposera des spécialités locales ainsi qu’un hébergement en dortoirs pour les randonneurs.
L’accès au Drumont n’est pas possible en hiver, la route n’étant pas dégagée. Les plus courageux peuvent tenter de le rejoindre en raquettes !
Cette chapelle est située en pleine forêt de la vallée des Charbonniers : sa vocation première est un refuge où l’on peut se réchauffer et se restaurer avec le repas tiré du sac. Elle a été édifiée en 1857 par quelques habitants de la contrée. Lors de travaux d’élargissement du chemin, la suppression d’un énorme rocher laissa une place suffisante qui parut aux ouvriers un lieu tout préparé pour une chapelle. Vite s’éleva un petit édifice, dans lequel on plaça une statue de Marie.
La petite chapelle fut agrandie en 1873 à ses dimensions actuelles. Parmi les artisans de cet agrandissement se trouvait un épicier des Charbonniers, bien connu des bûcherons pour les petites bouteilles qu’il leur vendait, d’où son surnom de Botiotte, désormais attaché à la chapelle et placée sous le vocable de Notre-Dame-de-Bon-Secours.
Cette Chapelle peut être un but de promenade bien agréable dans le silence de la forêt, là où demeurent encore des vestiges des mines exploitées au cours des siècles passés au profit des ducs de Lorraine.
L’église a été construite en 1733. Le clocher de l’église est le troisième, la date du dernier est sous le porche : 1894. Les deux clochers antérieurs furent détruits, le 1er par un incendie, le 2ème par la foudre. L’actuel qui parait rétréci a été voulu ainsi, le Conseil Municipal d’alors ne voulant pas se risquer à monter une troisième flèche.
L’église est dédiée à Sainte Barbe, patronne entre autres des mineurs. Le maitre-autel situé dans le chœur est celui que l’abbé Morizot a fait composer avec le cuivre des mines de Bussang. C’est une pantographie voltaïque représentant la mise au tombeau.
Dans le chœur de magnifiques stalles et une chaire abbatiale, rappellent que les boiseries proviennent de l’abbaye de Moyenmoutier. Démontées à la Révolution française, entreposées dans les greniers de la Préfecture d’Épinal; elles furent achetées par la Commune de Bussang pour son église.
Quant aux stations de chemin de la croix, il est rare d’en voir d’aussi grandes. Elles ne sont pas signées, mais elles doivent aussi provenir d’une école de moines.
L’église de Bussang abrite un orgue qui a fait l’objet d’une protection au titre des monuments historiques en 2013 au même titre que les stalles, l’autel, le chemin de croix ainsi que les lustres. Cet instrument a été construit par le facteur d’orgues Jean-Nicolas JEANPIERRE en 1838. Il présente un intérêt important pour le patrimoine organologique des Vosges car il est un témoin intéressant de la facture d’orgues Vosgiennes du début du 19ème siècle. Il est composé de nombreuses pièces dont notamment 1 clavier de 56 notes.
Les portes sont ouvertes tous les jours de 10h à 16h sauf le dimanche et par grand mauvais temps.
Le Ballon de Servance est le toit de la Haute-Saône, il culmine à 1 216 m et se présente comme le plus méridional des Ballons des Vosges.
Il est reconnaissable grâce au radar qui culmine à son sommet. Tout boisé, tout rond, habillé de versants doux, il regarde à l’Est le Ballon d’Alsace (1 247 m) séparé de lui par le Col du Stalon (958 m), et à l’Ouest, il domine la Haute-Vallée de l’Ognon.
Le Ballon de Servance et le Ballon d’Alsace sont les géants incontestés des Vosges Comtoises.
Le massif du Ballon de Servance est très vaste, il comporte 4 lignes de crêtes, dont une qui se dresse en frontière naturelle et historique avec la Lorraine.
Sur le sentier du flanc Est, il offre un magnifique point de vue sur la Planche-des-Belles-Filles, reconnaissable à ses trois bosses, le Ballon d’Alsace, et par temps clair les Alpes Suisses.
Au Col du Luthier (près du refuge), admirez un panorama sur la Vallée de la Moselle, vous pouvez poursuivre et rejoindre le Ballon d’Alsace par le GR5.
Les chiens ne sont pas admis même tenus en laisse sur le secteur des zones protégées du Ballon de Servance.
Les informations concernant la Réserve Naturelle des Ballons Comtois sont téléchargeables ci-dessous :