Bussang.com

[theme_switcha_link theme="ot_ete_bussang" text="Ete"] [theme_switcha_link theme="ot_hiver_bussang" text="Hiver"]

Croix de Fresse

Située à une altitude de 879 mètres, la Croix de Fresse rappelle qu’en ces lieux, en 1814, 4 Grognards de Napoléon 1er sont morts en défendant ce col contre les Cosaques.

A proximité se trouve le Chalet de la Croix de Fresse qui offre une vue imprenable sur Bussang.

Ce site est facilement accessible à pied depuis la station de ski de Larcenaire, sur les hauteurs de Bussang, par un chemin en balcon balisé rectangle vert.

Un descriptif complet de la randonnée et téléchargeable ci dessous.

 

 

Chapelle Le Corbusier, Ronchamp

Surplombant la petite ville de Ronchamp (70), la Colline Notre-Dame du Haut est un haut lieu d’architecture moderne et un lieu de pèlerinage marial multiséculaire.

Sur les ruines des bombardements de 1944, Le Corbusier  accepte de construire une nouvelle chapelle de pèlerinage. Ainsi est inauguré en 1955 un premier ensemble architectural inédit :  la chapelle Notre-Dame du Haut, deux maisons et une pyramide de la paix. Ces bâtiments ont été inscrits sur la liste du Patrimoine mondial de l’UNESCO au sein d’une série de 17 sites de Le Corbusier en 2016.

Puis en 1975, Jean Prouvé complète le projet en édifiant un campanile pourvu de trois cloches.

Enfin, en  2011, l’architecte italien Renzo Piano construit une porterie (pavillon d’accueil) et le monastère Sainte-Claire, pour accueillir des Soeurs Clarisses.

Venir à Ronchamp, c’est une invitation à une promenade architecturale et spirituelle dans un cadre d’exception.

 

 

Vierge de Le Thillot

La vierge du Thillot, aussi appelée Notre-Dame de la Libération, est une statue érigée par la paroisse pour commémorer la libération du village le 26 novembre 1944.

Le Thillot a payé un lourd tribut durant la Seconde Guerre Mondiale : la cité a été détruite à 50% lors des bombardements de juin 1940 et septembre 1944.

La vierge, qui a été bénie le 4 avril 1948, se situe sur un petit sommet (altitude : 585 mètres) d’où l’on jouit d’un magnifique panorama sur la vallée.

L’accès au site se fait à pied depuis un chemin desservi par la rue du Tacot : il faut suivre le balisage triangle jaune en direction de l’étang de la Peau puis la pancarte indiquant « point de vue de la vierge ».  Consultez le descriptif de la promenade qui vous y mène.  

 

 

Statue Sainte-Barbe

Au cours de la libération en 1944, lors des bombardements, l’église fut frappée par deux obus, tous les vitraux furent cassés….

Tous , sauf celui représentant Saint Barbe, qui lui fut miraculeusement intact ….

Les bussenets, habitants de Bussang, sous l’impulsion de l’Abée Vaché formulèrent alors ce voeux :

« Si Bussang est épargné, en remerciement, nous monterons une statue de Sainte Barbe sur la montagne la plus haute de Bussang, au lieux-dit les Évaux. »

Il s’avéra que Bussang ne souffrit pas trop matériellement. Après le conflit, les habitants purent collecter du cuivre, bronze et autres matériaux pour réaliser cette statue. L’inauguration eut lieu le 3 octobre 1948.

Sainte Barbe n’est accessible qu’à pied !

Un sentier de randonnée vous conduit depuis le centre du village jusqu’à la statue, ça grimpe un peu mais la vue sur le village vaut l’effort fourni !

Un descriptif pour y accéder est téléchargeable ci-dessous.

La carte IGN 3619 est en vente à l’office de tourisme pour plus de détails.

 

 

La Chapelle Botiotte

Cette chapelle est située en pleine forêt de la vallée des Charbonniers : sa vocation première est un refuge où l’on peut se réchauffer et se restaurer avec le repas tiré du sac. Elle a été édifiée en 1857 par quelques habitants de la contrée. Lors de travaux d’élargissement du chemin, la suppression d’un énorme rocher laissa une place suffisante qui parut aux ouvriers un lieu tout préparé pour une chapelle. Vite s’éleva un petit édifice, dans lequel on plaça une statue de Marie.
La petite chapelle fut agrandie en 1873 à ses dimensions actuelles. Parmi les artisans de cet agrandissement se trouvait un épicier des Charbonniers, bien connu des bûcherons pour les petites bouteilles qu’il leur vendait, d’où son surnom de Botiotte, désormais attaché à la chapelle et placée sous le vocable de Notre-Dame-de-Bon-Secours.

Cette Chapelle peut être un but de promenade bien agréable dans le silence de la forêt, là où demeurent encore des vestiges des mines exploitées au cours des siècles passés au profit des ducs de Lorraine.

 

 

Le pont Montbel

Le pont de Montbel est un ouvrage d’art situé en forêt, à 903 m d’altitude.

On ne s’y rend qu’à pied, par plusieurs circuits : depuis les Grandes Tailles par le chemin de forêt sur la gauche, par la Grande Goutte en suivant le balisage anneau rouge par le sentier des Deux Chapelles ou depuis les Neufs-Bois en longeant les trois étangs et en empruntant le balisage anneau jaune direction les 3 mousquetaires.

Construction en plusieurs étapes :

  • Il fut érigé en 1937 sous la direction de l’ONF (Office National des Forêts) par l’inspecteur-adjoint de Montbel. Sa construction fut possible grâce à l’apport des matériaux par wagonnets équipés de moteurs depuis les Grandes Tailles. La construction a été effectuée par des chômeurs qui devaient travailler pendant quatre heures pour avoir droit aux repas.
  • Le pont a été construit trop près de la montagne et en 1945, quand les bœufs des exploitants forestiers ont fait place aux engins motorisés, il a fallu élargir le chemin car, en tournant, les camions arrachaient les balustrades.
  • Les rambardes ont été changées en 2006, et des travaux de terrassement de chaque côté du pont ont été effectués pour améliorer le passage et la manœuvre des grumiers.
  • La plaque du pont a été rénovée (nettoyage, peinture des inscriptions, remise en place) en 2019 par les établissements Creusot au Thillot.

 

 

La Chapelle de la Salette

Situé sur la commune du Ménil.

Cet oratoire ancien est accessible à pied, notamment par le sentier balisé chevalet bleu conduisant à La Tête des Champs. On peut s’en approcher en voiture jusqu’à croiser le chemin qui y conduit au bout de 600 mètres.

GPS départ : 47°55’06.5″ N / 6°49’18 » E

La chapelle est située sur un amas rocheux dominant les alentours.
Ce petit édifice carré est posé sur un socle maçonné. Les murs sont protégés par des plaques de tôle peintes en bleu. Le toit pyramidal est également en tôle mais peint en brun-rouge.
On y voit en façade 2 volets fermés par un verrou. S’ouvrant vers l’intérieur, ils protègent une niche habillée de bois. Derrière une fenêtre vitrée ont été installées diverses statuettes de la Vierge, dont une de La Salette.

 

 

La Chapelle des Charbonniers

Une première chapelle en planches, surmontée d’un minuscule clocher avait été édifiée en 1860 sur la Têtote, petite colline rocheuse, à l’entrée du hameau par Jean-Nicolas Aiguier, le propriétaire des lieux, aidé de quelques personnes de l’endroit. C’est pour conjurer le sort qu’il réalisa ce petit lieu de recueillement et de prière. La vallée des charbonniers était alors très peuplée, mais la population du hameau était éloignée de l’église de Saint Maurice. C’est ainsi que Nicolas Aiguier pensait implanter à la fois un lieu de recueillement  et de prière où l’on pourrait parfois entendre la messe.

Dès l’origine, la chapelle fut placée sous le double patronage de St Nicolas, patron de la Lorraine, et de la Vierge, Notre Dame de Consolation. C’est pourquoi on peut encore voir, mais malheureusement cachées par de grandes statues en plâtre, 3 autres petites statues en bois quelque peu mutilées par le temps: St Nicolas levant 3 doigts au dessus de la cuve miraculeuse, avec hélas, sa crosse brisée, St Joseph et la Vierge Marie.

La chapelle St Nicolas – Notre Dame de Consolation fut bénie par le Curé Claudel, le 6 décembre 1861, jour de la fête du saint patron de la Lorraine. Les dimanches et jours de fête, la messe y était dite régulièrement. Après la guerre de 1939-1945 et pendant plusieurs décennies fut créée la Fête des Charbonniers, le 15 août, fête de la Vierge. Ce jour là, une messe était célébrée dans la chapelle, trop petite, et à l’extérieur.

En 1987, la chapelle fait peau neuve grâce à plusieurs associations locales et à une participation financière des propriétaires du terrain.

 

 

Borne de visée du tunnel inachevé de Saint-Maurice-Sur-Moselle

Cette borne de visée ou ‘‘Pilier de direction’’ servait à l’alignement de l’axe de la Tête Ouest du ‘‘Tunnel Ferroviaire’’ Saint-Maurice sur Moselle Urbès’’ ; ‘‘Tunnel’’ aussi nommé ‘‘Souterrain du Col de Bussang’’ ou ‘‘Percée des Vosges’’.

Les travaux ont commencés en octobre 1932 et furent brusquement interrompu fin 1935 pour des raisons restées assez obscures alors qu’ils devaient s’achever en 1937 et qu’environ 30 % d’entre eux avaient été réalisés !

Ce chantier comptait un tunnel à double voie rectiligne d’une longueur de 8.287 mètres, le plus long de France à l’époque.

A Saint-Maurice ‘‘il ne fut réalisé que 300 mètres’’ de galerie de base.

Outre le tunnel, on trouvait 4.636 mètres de voies à ciel ouvert comprenant plusieurs ouvrages d’art.

Versant alsacien un viaduc fut construit en 1933 / 1934, à Urbès l’entrée du Tunnel a été masquée par un imposant bunker construit par les Nazis courant 1944 alors qu’ils avaient fait du ‘‘tunnel’’ un camp de travail. 

Pour trouver tous les détails techniques de la création du tunnel, le document a été créé par Raphaël Parmentier, historien local.

 

 

Église de Fresse-sur-Moselle

L’histoire de l’église Saint-Brice de Fresse-sur-Moselle :
Au 10ème siècle : Les habitants de la commune de Fresse-sur-Moselle appartenaient à la paroisse de Ramonchamp, chrétienté et doyenné de Remiremont, diocèse de Toul.

Lorsque la commune Fresse-sur-Moselle eut sa première église, elle reçut une contribution de l’église mère de Ramonchamp pour sa construction et son aménagement. Cette église n’était qu’une chapelle de secours et non un temple de culte.

Le 22 décembre 1640 : Permission de célébrer des messes de dévotion la semaine.

En 1665 : Faculté d’y administrer des baptêmes puis en 1737 : Date à laquelle la paroisse devient indépendante.

En 1741 : Installation d’un presbytère, son premier vicaire était Messire COUSERAT.
Le 05 juin 1803 : Premier curé de la paroisse, l’abbé BONNABE.
Le 04 décembre 1856 : Travaux de démolition de l’ancienne église qui tombait en ruines et de la construction de l’église actuelle. Celle-ci fut achevée, aménagée et ouverte au culte en 1863.
En 1863 : Couverture de l’Eglise puis en 1880 : Installation de l’orgue à la tribune.
En 1892 : Installation d’une troisième cloche. En 1926 : Décoration intérieure de l’église.
En 1934 : Electrification des cloches.
En 1936 :Affermissement des vitraux disjoints et pose d’une double cloison en verre cathédrale.
En 1937 : Installation du chauffage et construction des sacristies.
En 1947 : Remplacement complet de l’orgue.

 

 

Votre recherche
Informations pratiques
  • Lundi, mardi, mercredi, vendredi et Samedi ;
  • de 9h à 12h et de 14h à 17h
  • Fermé le jeudi et le dimanche
Contact
8 avenue de la gare – 88540 BUSSANG
Tél : le 03 29 61 50 37