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Statue Sainte-Barbe

Au cours de la libération en 1944, lors des bombardements, l’église fut frappée par deux obus, tous les vitraux furent cassés….

Tous , sauf celui représentant Saint Barbe, qui lui fut miraculeusement intact ….

Les bussenets, habitants de Bussang, sous l’impulsion de l’Abée Vaché formulèrent alors ce voeux :

« Si Bussang est épargné, en remerciement, nous monterons une statue de Sainte Barbe sur la montagne la plus haute de Bussang, au lieux-dit les Évaux. »

Il s’avéra que Bussang ne souffrit pas trop matériellement. Après le conflit, les habitants purent collecter du cuivre, bronze et autres matériaux pour réaliser cette statue. L’inauguration eut lieu le 3 octobre 1948.

Sainte Barbe n’est accessible qu’à pied !

Un sentier de randonnée vous conduit depuis le centre du village jusqu’à la statue, ça grimpe un peu mais la vue sur le village vaut l’effort fourni !

Un descriptif pour y accéder est téléchargeable ci-dessous.

La carte IGN 3619 est en vente à l’office de tourisme pour plus de détails.

 

 

La Chapelle Botiotte

Cette chapelle est située en pleine forêt de la vallée des Charbonniers : sa vocation première est un refuge où l’on peut se réchauffer et se restaurer avec le repas tiré du sac. Elle a été édifiée en 1857 par quelques habitants de la contrée. Lors de travaux d’élargissement du chemin, la suppression d’un énorme rocher laissa une place suffisante qui parut aux ouvriers un lieu tout préparé pour une chapelle. Vite s’éleva un petit édifice, dans lequel on plaça une statue de Marie.
La petite chapelle fut agrandie en 1873 à ses dimensions actuelles. Parmi les artisans de cet agrandissement se trouvait un épicier des Charbonniers, bien connu des bûcherons pour les petites bouteilles qu’il leur vendait, d’où son surnom de Botiotte, désormais attaché à la chapelle et placée sous le vocable de Notre-Dame-de-Bon-Secours.

Cette Chapelle peut être un but de promenade bien agréable dans le silence de la forêt, là où demeurent encore des vestiges des mines exploitées au cours des siècles passés au profit des ducs de Lorraine.

 

 

Le pont Montbel

Le pont de Montbel est un ouvrage d’art situé en forêt, à 903 m d’altitude.

On ne s’y rend qu’à pied, par plusieurs circuits : depuis les Grandes Tailles par le chemin de forêt sur la gauche, par la Grande Goutte en suivant le balisage anneau rouge par le sentier des Deux Chapelles ou depuis les Neufs-Bois en longeant les trois étangs et en empruntant le balisage anneau jaune direction les 3 mousquetaires.

Construction en plusieurs étapes :

  • Il fut érigé en 1937 sous la direction de l’ONF (Office National des Forêts) par l’inspecteur-adjoint de Montbel. Sa construction fut possible grâce à l’apport des matériaux par wagonnets équipés de moteurs depuis les Grandes Tailles. La construction a été effectuée par des chômeurs qui devaient travailler pendant quatre heures pour avoir droit aux repas.
  • Le pont a été construit trop près de la montagne et en 1945, quand les bœufs des exploitants forestiers ont fait place aux engins motorisés, il a fallu élargir le chemin car, en tournant, les camions arrachaient les balustrades.
  • Les rambardes ont été changées en 2006, et des travaux de terrassement de chaque côté du pont ont été effectués pour améliorer le passage et la manœuvre des grumiers.
  • La plaque du pont a été rénovée (nettoyage, peinture des inscriptions, remise en place) en 2019 par les établissements Creusot au Thillot.

 

 

La Chapelle de la Salette

Situé sur la commune du Ménil.

Cet oratoire ancien est accessible à pied, notamment par le sentier balisé chevalet bleu conduisant à La Tête des Champs. On peut s’en approcher en voiture jusqu’à croiser le chemin qui y conduit au bout de 600 mètres.

GPS départ : 47°55’06.5″ N / 6°49’18 » E

La chapelle est située sur un amas rocheux dominant les alentours.
Ce petit édifice carré est posé sur un socle maçonné. Les murs sont protégés par des plaques de tôle peintes en bleu. Le toit pyramidal est également en tôle mais peint en brun-rouge.
On y voit en façade 2 volets fermés par un verrou. S’ouvrant vers l’intérieur, ils protègent une niche habillée de bois. Derrière une fenêtre vitrée ont été installées diverses statuettes de la Vierge, dont une de La Salette.

 

 

Arboretum

A dix minutes de marche du centre de Fresse sur Moselle (parking près des ateliers municipaux), l’arboretum s’étend sur plus de quatre hectares à une altitude variant de 560 à 590 mètres. L’accès en pente douce sur un coteau exposé au sud qui domine le village et la vallée de la Moselle. Depuis sa création en 1992, l’arboretum s’est enrichi de 200 variétés d’arbres d’espèces européennes locales et méditerranéennes mais aussi africaines, asiatiques et américaines. La qualité du sol et la bonne exposition du site ont favorisé l’adaptation de ces espèces. Des plaquettes d’informations sont exposées près des arbres pour le visiteur qui désire en faire la connaissance. Le domaine est en forêt communale. La gestion est confiée à l’Office Nationale des Forêts depuis sa création. L’espace est traversé par un parcours de santé de deux kilomètres qui fait le bonheur des sportifs et des promeneurs.

 

 

La Chapelle des Charbonniers

Une première chapelle en planches, surmontée d’un minuscule clocher avait été édifiée en 1860 sur la Têtote, petite colline rocheuse, à l’entrée du hameau par Jean-Nicolas Aiguier, le propriétaire des lieux, aidé de quelques personnes de l’endroit. C’est pour conjurer le sort qu’il réalisa ce petit lieu de recueillement et de prière. La vallée des charbonniers était alors très peuplée, mais la population du hameau était éloignée de l’église de Saint Maurice. C’est ainsi que Nicolas Aiguier pensait implanter à la fois un lieu de recueillement  et de prière où l’on pourrait parfois entendre la messe.

Dès l’origine, la chapelle fut placée sous le double patronage de St Nicolas, patron de la Lorraine, et de la Vierge, Notre Dame de Consolation. C’est pourquoi on peut encore voir, mais malheureusement cachées par de grandes statues en plâtre, 3 autres petites statues en bois quelque peu mutilées par le temps: St Nicolas levant 3 doigts au dessus de la cuve miraculeuse, avec hélas, sa crosse brisée, St Joseph et la Vierge Marie.

La chapelle St Nicolas – Notre Dame de Consolation fut bénie par le Curé Claudel, le 6 décembre 1861, jour de la fête du saint patron de la Lorraine. Les dimanches et jours de fête, la messe y était dite régulièrement. Après la guerre de 1939-1945 et pendant plusieurs décennies fut créée la Fête des Charbonniers, le 15 août, fête de la Vierge. Ce jour là, une messe était célébrée dans la chapelle, trop petite, et à l’extérieur.

En 1987, la chapelle fait peau neuve grâce à plusieurs associations locales et à une participation financière des propriétaires du terrain.

 

 

Borne de visée du tunnel inachevé de Saint-Maurice-Sur-Moselle

Cette borne de visée ou ‘‘Pilier de direction’’ servait à l’alignement de l’axe de la Tête Ouest du ‘‘Tunnel Ferroviaire’’ Saint-Maurice sur Moselle Urbès’’ ; ‘‘Tunnel’’ aussi nommé ‘‘Souterrain du Col de Bussang’’ ou ‘‘Percée des Vosges’’.

Les travaux ont commencés en octobre 1932 et furent brusquement interrompu fin 1935 pour des raisons restées assez obscures alors qu’ils devaient s’achever en 1937 et qu’environ 30 % d’entre eux avaient été réalisés !

Ce chantier comptait un tunnel à double voie rectiligne d’une longueur de 8.287 mètres, le plus long de France à l’époque.

A Saint-Maurice ‘‘il ne fut réalisé que 300 mètres’’ de galerie de base.

Outre le tunnel, on trouvait 4.636 mètres de voies à ciel ouvert comprenant plusieurs ouvrages d’art.

Versant alsacien un viaduc fut construit en 1933 / 1934, à Urbès l’entrée du Tunnel a été masquée par un imposant bunker construit par les Nazis courant 1944 alors qu’ils avaient fait du ‘‘tunnel’’ un camp de travail. 

Pour trouver tous les détails techniques de la création du tunnel, le document a été créé par Raphaël Parmentier, historien local.

 

 

Croix de Couard

La Croix de Couard a été érigée en 1947 pour fêter le retour des prisonniers et déportés de la Seconde Guerre Mondiale.

Elle est située sur la Montagne de Couard (737 mètres) qui domine le village de Fresse-sur-Moselle et offre une belle vue sur le centre de la commune.

Les matériaux qui la composent ont été à l’époque montés à dos d’hommes par les habitants du village, y compris les enfants des écoles qui ont monté le sable par des sentiers escarpés.

Accessible uniquement à pied, on peut rejoindre ce site soit depuis le centre du village soit depuis l’étang du Frac en suivant le sentier balisé cercle rouge.

 

 

Église de Le Thillot

Les habitants de Le Thillot avaient initialement construit une petite chapelle qui était devenue trop exigüe pour la célébration des cultes.

Dès 1897, l’emplacement de la nouvelle église donne lieu à une polémique qui durera plusieurs années.

Le premier coup de pioche sera donné seulement en mars 1903 et la nouvelle église est finalement inaugurée en octobre 1904.

Une horloge à 3 cadrans est mise en place en mai 1909 par Monsieur Farini.

Les vitraux sont réalisés entre 1947 et 1949 par les ateliers Loire.

 

 

Randonnée Les Balcons de Bussang

Très belle randonnée proposant de magnifiques points de vue et des passages forestiers sur les hauteurs de Bussang : 7.5 km, dénivelé positif de 210 mètres, 3 h de marche. Carte IGN de référence 3619 OT ou carte personnalisée Bussang uniquement disponible à l’office de tourisme de Bussang.

Point de départ, parking de la station de ski de Bussang : Larcenaire.

Face à la vallée, prendre la petite route vers la droite sur 100 m et rejoindre un large chemin balisé par un rectangle vert « Croix de Fresse ». Rester sur ce chemin pendant environ 2 km. Vous passez à proximité du chalet de la Croix de Fresse qui offre une vue imprenable sur Bussang. Un peu plus haut, se trouve le col de la Croix de Fresse (altitude 879 m). Poursuivre ensuite par la droite, le chemin marqué d’un disque rouge. Après 600 m, possibilité de faire un détour par la Tête des Révolles pour y découvrir un joli point de vue.

Suivre toujours le chemin disque rouge sur 1,2 km. Passer devant le refuge du Peut-Haut et le mémorial. Continuer sur 1,8 km pour déboucher sur le large plateau de Rochelotte et son chalet en bois.

Passer devant le chalet et emprunter le chemin qui descend marqué d’un rectangle vert-blanc-vert « Larcenaire ». Descendre sur 1 km et arriver à un carrefour avec la route du Col du Page. Reprendre la route à droite sur 500 m, passer au-dessus du village vacances Azureva pour ensuite retrouver votre véhicule.

Tracé Gpx  et descriptif du parcours téléchargeables ci-dessus.

 

 

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