Bussang.com

[theme_switcha_link theme="ot_ete_bussang" text="Ete"] [theme_switcha_link theme="ot_hiver_bussang" text="Hiver"]

Espace Nature Culture du parc Naturel Régional

Le hameau de Château Lambert dans le petit village comtois du Haut du Them accueille depuis l’été 2009, l’Espace Nature Culture.

Ce bâtiment démonstratif tient compte de cette spécificité et répond aux objectifs architecturaux suivants : l’intégration paysagère de l’édifice, l’utilisation de matériaux renouvelables, l’optimisation des coûts de gestion et le confort des usagers et des visiteurs. Ainsi, le bâtiment prend en compte trois domaines de la haute qualité environnementale (HQE) : l’éco-construction, l’éco-gestion et le confort. Au fil de la visite de l’Espace Nature Culture, vous retrouverez sur les panneaux explicatifs les six cibles HQE retenues.

Ce bâtiment comprend les bureaux de la Maison de la Nature des Vosges Saônoises, de la Réserve Naturelle des Ballons Comtois et du Parc naturel régional des Ballons des Vosges.

Il est ouvert de mars à décembre et gratuitement, 250 m2 sont destinés à l’accueil des visiteurs.

Une exposition permanente présente les richesses naturelles et culturelles des Vosges Saônoises et des expositions temporaires animent l’espace au fil des saisons, un coin lecture pour les enfants complètent la visite.

 

 

Le jardin contemporain « Une Figue dans le Poirier »

Bienvenue dans l’univers d’Une Figue dans le Poirier,
A la fois jardin paysagé & forêt comestible, Une Figue dans le Poirier est un jardin contemporain unique dans la Région Grand Est avec ses collections de 3000 plantes du monde, où se rencontrent l’esthétique à l’anglaise, la philosophie japonaise, l’art topiaire, la beauté des paysages sauvages, l’art contemporain & la science de la permaculture.
Lilian DIDIER, paysagiste & d’artiste plasticien, y expérimente avec délice des associations audacieuses de plantes des 5 continents. Tel un peintre impressionniste, il joue avec les contrastes, les lignes de fuite, les textures, les feuillages et toute la palette de couleurs qu’il a à sa portée, afin de proposer des jardins uniques et sensibles, ode à la diversité et à la beauté du règne végétal d’hier et d’aujourd’hui.
Une Figue dans le Poirier est aussi un lieu de partage : démonstrations de forge, visites guidées scientifiques, stages de Permaculture, animations pour les familles, les scolaires & les centres aérés, concerts, festivals & ateliers DIY variés…. un florilège d’activités pour tous les âges à partager en famille & entre amis ! Retrouvez notre agenda culturel de l’année sur notre site internet.
Au plaisir de vous accueillir cette année au jardin !
Lilian & Marjolaine pour l’équipe d’Une Figue dans le Poirier
Sur Salon de thé & boutique artisanale
Vente de plantes sur place (micro-pépinière)

Jardin d’Altitude du Haut Chitelet

Le jardin d’altitude du Haut Chitelet propose à son public de découvrir 2500 espèces de plantes alpines des différentes régions montagneuses du monde.
A deux pas du Hohneck, primevères, gentianes, pavots bleus, edelweiss et bien d’autres encore s’épanouissent en rocailles paysagées.
Une tourbière et une hêtraie d’altitude, deux milieux naturels caractéristiques des Hautes-Vosges, complètent ce véritable tour du monde botanique.
Des livrets-jeux sont proposés aux familles. Un programme culturel s’articule autour d’une exposition photographique et d’animations estivales sur le thème de la nature

Musée du textile des Vosges

Visite incontournable à Ventron.

Cet ancien tissage, à l’architecture caractéristique des premières usines de l’industrie textile, fonctionna à partir de 1855 avec 50 métiers mécaniques mis en oeuvre par 32 ouvriers. Une succession de machines permet au visiteur de comprendre la transformation du coton de la balle au fil et du fil à toutes sortes de tissus. Implanté en altitude, le musée du textile des Vosges est un but de promenade pour découvrir différemment le massif vosgien. La visite est agrémentée de démonstrations en filature et en tissage avec machines et maquettes en fonctionnement.

A ne pas manquer les jeudis pendant les vacances scolaires à 14h30 : « LES JEUDIS TISSAGE EN FAMILLE « 

Visite commentée sur réservation, pour les groupes, prévoir un traducteur pour les langues étrangères.

Fermeture annuelle du musée du 1er novembre au 15 décembre 2025 inclus. 

Église de Ramonchamp

Eglise mère de toute la vallée de la Haute Moselle, l’église Saint-Rémy et Saint-Blaise de Ramonchamp a été construite en 1684.

Elle fut dotée d’un orgue en 1732 grâce au don de l’abbé Georges d’Ogeron, curé de Ramonchamp de 1735 à 1785.

L’église renferme une peinture de 1950 du peintre Lecomte qui commémore la 1ère Guerre Mondiale.

Cette oeuvre représente des soldats blessés et mourants ainsi qu’un ange.

Le Musée Départemental Demard de la Montagne

Le Musée départemental Demard de la Montagne témoigne de la vie quotidienne des paysans des siècles passés, avec l’habitat d’autrefois et les activités agricoles.

À l’extérieur, un parcours propose aux visiteurs de se familiariser avec les métiers liés à la forêt et à l’artisanat du bois.

La scierie, la forge, le moulin, la salle de classe et la section mine complètent la visite par le biais de reconstitutions.

Ouvert du 1er mars au 31 otobre. En dehors de cette période le musée reste ouvert aux groupes sur réservation. 

 

 

Les Jardins de Callunes

Un jardin paysagé et botanique de 3,8 ha avec un ruisseau et un petit lac de montagne où l’on peut visiter différentes zones paysagères en empruntant des allées gazonnées ou des sentiers de pierre. Collections de rhododendrons, azalées, vivaces, arbustes, bruyères et plantes de zones humides. Bancs pour se reposer et aire de pique-nique. Animaux non admis.

La Chapelle des Vés

Situé à 767m d’altitude, la Chapelle des Vés de Fresse sur Moselle a été construite en 1863 par les agriculteurs de la colline de Fresse sur Moselle avec des matériaux provenant de l’ancienne église du village.
Son évolution :
– 1939-1945 : La Chapelle subit de gros dégâts… seuls les murs restent debout.
– 1948 : La commune de Fresse/Moselle reconstruit la Chapelle qui se voit adjoindre un abri pour les promeneurs.
– 1996 : 2 bénévoles Fressiots engagent un projet de rénovation de la Chapelle avec pour but qu’elle retrouve son cachet originel de 1863.
– 1998 : Grâce au soutien de la municipalité qui accepte de financer les matériaux, les travaux peuvent débuter. Une cinquantaine de bénévoles, pour la plupart d’anciens ouvriers ou artisans en retraite, travaillent dans les règles de l’art et de la tradition en utilisant les techniques d’autrefois. Les compagnons du devoir très intéressés par le projet offrent l’étude technique, la réalisation et le montage de la flèche, conformément aux techniques du 17ème siècle.
– Le 25 Juin 2000, la Chapelle des Vés est inaugurée en présence notamment de Christian Poncelet, président du conseil général des Vosges et président du sénat.
– En novembre 2001, le travail des bénévoles est récompensé en obtenant le 1er prix du grand Nord-Est, décerné par la FNASSEM (Fédération Nationale des Associations de Sauvegarde des Sites et Ensembles Monumentaux).

Depuis l’église de Fresse sur Moselle, monter à droite vers l’hôtel-restaurant Maison Capdet puis suivre la Rue de la Chapelle.

 

 

 

Église de Saint-Maurice-sur-Moselle

La paroisse de Saint Maurice qui s’étendait du Pont Jean au Col de Bussang est l’une des plus anciennes de la montagne vosgienne. D’abord désignée sous le vocable de Visentine, elle prit le nom de Saint Morise (Maurice) à la fin du XIIIème siècle ou au début du XIVè siècle.
Nous ne savons rien du lieu de culte qui fut le centre de la paroisse de Visentine puis Saint Maurice. La première mention d’un prêtre date de l’abbatiat romarimontain et laisse penser que, dès cette époque, une église desservait la Haute Moselle.

En 1663, l’église fut détruite par un incendie; reconstruite avec des moyens limités en raison des longues guerres de ce siècle, elle connut le même sort en 1701 ainsi que l’école bâtie à proximité.

Le 5 juillet 1725, la nouvelle église consacrée sous l’invocation de Saint Maurice et de ses compagnons martyrs, fut inaugurée officiellement par l’Evêque et Comte de Toul.  L’église contenait 350 places. S’avérant trop exiguë pour une population de 1750 habitants, la commune en 1863 confia l’étude d’un projet d’une nouvelle construction à l’architecte Perron de Remiremont. Celui-ci présenta une église à 3 nefs, de style ogival, d’une contenance de 1075 places pour un coût estimé à 140 000 francs.  L’emplacement du vieux cimetière fut choisi.

Les travaux sont adjugés le 10 avril 1866. Les vitraux peints, commandés dès 1867 sont l’œuvre de Thiriat, peintre sur verre à Metz. La guerre de 1870 retardera la pose des cloches. Ce n’est que le 31 août 1875 que Robert Hartmann, fondeur de cloches, s’engage à livrer une sonnerie parfaite composée de 4 cloches d’un poids total de 4500 kg. Les orgues furent offertes par des mains généreuses. L’horloge date du 15 août 1883.

 

 

Source Marie – eau ferrugineuse

La Source Marie est le dernier vestige de l’ancienne station thermale qu’était Bussang.

Entourée d’un joli parc, la source Marie est abritée par un kiosque dont l’entrée est libre, et permanente où l’on peut déguster gratuitement l’eau minérale gazeuse naturellement, préconisée à l’époque pour le traitement de l’anémie car riche en fer.

Elle se situe au bout d’un joli chemin, à droite sur la route des sources (D89) au niveau du gîte « Les Sources », en contre-bas de la route nationale qui mène au col de Bussang, à la sortie du village.

 

 

 

Votre recherche
Informations pratiques
  • Lundi, mardi, mercredi, vendredi et Samedi ;
  • de 9h à 12h et de 14h à 17h
  • Fermé le jeudi et le dimanche
Contact
8 avenue de la gare – 88540 BUSSANG
Tél : le 03 29 61 50 37