Bussang.com

[theme_switcha_link theme="ot_ete_bussang" text="Ete"] [theme_switcha_link theme="ot_hiver_bussang" text="Hiver"]

Le Drumont -table d’orientation – patrimoine- monument

Haut lieu de résistance, la Chaume du Drumont fut incendiée par les Allemands le 23 septembre 1944. De durs combats y furent livrés par le Corps Franc Pommiés fin novembre 1944. Une plaque évoque le sacrifice de ces volontaires.

À 1 200 m une table d’orientation du club alpin français datant de 1891 explique le merveilleux panorama circulaire. Le coup d’œil sur la vallée découvre Bussang, niché sur le flanc de la Tête des Corbeaux. Le panorama sur le Ballon d’Alsace, le Rossberg et le Grand Ballon est tout simplement grandiose. Au sud, par temps très clair, on voit les Alpes Suisses. Le panorama offre une alternance de sommets boisés et de vallées urbanisées.

 

 

 

Source de la Moselle

La fontaine située sur la route des sources au pied du Drumont à 735 m d’altitude matérialise officiellement la source de la Moselle.

Cependant la rivière se forme de la réunion de plusieurs ruisseaux dont certains sourdent à plus de 1000 m, sur les pentes du Grand Drumont.

Après un long parcours de 560 kms, la Moselle se jette dans le Rhin à Coblence en Allemagne qui n’est pourtant qu’à 262 kms de Bussang à vol d’oiseau ! 

La source est signalée par un monument en granit qui a été érigé le 23 mai 1965. Elle est située au-dessous du Col de Bussang.

 

 

Espace Nature Culture du parc Naturel Régional

Le hameau de Château Lambert dans le petit village comtois du Haut du Them accueille depuis l’été 2009, l’Espace Nature Culture.

Ce bâtiment démonstratif tient compte de cette spécificité et répond aux objectifs architecturaux suivants : l’intégration paysagère de l’édifice, l’utilisation de matériaux renouvelables, l’optimisation des coûts de gestion et le confort des usagers et des visiteurs. Ainsi, le bâtiment prend en compte trois domaines de la haute qualité environnementale (HQE) : l’éco-construction, l’éco-gestion et le confort. Au fil de la visite de l’Espace Nature Culture, vous retrouverez sur les panneaux explicatifs les six cibles HQE retenues.

Ce bâtiment comprend les bureaux de la Maison de la Nature des Vosges Saônoises, de la Réserve Naturelle des Ballons Comtois et du Parc naturel régional des Ballons des Vosges.

Il est ouvert de mars à décembre et gratuitement, 250 m2 sont destinés à l’accueil des visiteurs.

Une exposition permanente présente les richesses naturelles et culturelles des Vosges Saônoises et des expositions temporaires animent l’espace au fil des saisons, un coin lecture pour les enfants complètent la visite.

 

 

La Chapelle des Vés

Situé à 767m d’altitude, la Chapelle des Vés de Fresse sur Moselle a été construite en 1863 par les agriculteurs de la colline de Fresse sur Moselle avec des matériaux provenant de l’ancienne église du village.
Son évolution :
– 1939-1945 : La Chapelle subit de gros dégâts… seuls les murs restent debout.
– 1948 : La commune de Fresse/Moselle reconstruit la Chapelle qui se voit adjoindre un abri pour les promeneurs.
– 1996 : 2 bénévoles Fressiots engagent un projet de rénovation de la Chapelle avec pour but qu’elle retrouve son cachet originel de 1863.
– 1998 : Grâce au soutien de la municipalité qui accepte de financer les matériaux, les travaux peuvent débuter. Une cinquantaine de bénévoles, pour la plupart d’anciens ouvriers ou artisans en retraite, travaillent dans les règles de l’art et de la tradition en utilisant les techniques d’autrefois. Les compagnons du devoir très intéressés par le projet offrent l’étude technique, la réalisation et le montage de la flèche, conformément aux techniques du 17ème siècle.
– Le 25 Juin 2000, la Chapelle des Vés est inaugurée en présence notamment de Christian Poncelet, président du conseil général des Vosges et président du sénat.
– En novembre 2001, le travail des bénévoles est récompensé en obtenant le 1er prix du grand Nord-Est, décerné par la FNASSEM (Fédération Nationale des Associations de Sauvegarde des Sites et Ensembles Monumentaux).

Depuis l’église de Fresse sur Moselle, monter à droite vers l’hôtel-restaurant Maison Capdet puis suivre la Rue de la Chapelle.

 

 

 

Église de Fresse-sur-Moselle

L’histoire de l’église Saint-Brice de Fresse-sur-Moselle :
Au 10ème siècle : Les habitants de la commune de Fresse-sur-Moselle appartenaient à la paroisse de Ramonchamp, chrétienté et doyenné de Remiremont, diocèse de Toul.

Lorsque la commune Fresse-sur-Moselle eut sa première église, elle reçut une contribution de l’église mère de Ramonchamp pour sa construction et son aménagement. Cette église n’était qu’une chapelle de secours et non un temple de culte.

Le 22 décembre 1640 : Permission de célébrer des messes de dévotion la semaine.

En 1665 : Faculté d’y administrer des baptêmes puis en 1737 : Date à laquelle la paroisse devient indépendante.

En 1741 : Installation d’un presbytère, son premier vicaire était Messire COUSERAT.
Le 05 juin 1803 : Premier curé de la paroisse, l’abbé BONNABE.
Le 04 décembre 1856 : Travaux de démolition de l’ancienne église qui tombait en ruines et de la construction de l’église actuelle. Celle-ci fut achevée, aménagée et ouverte au culte en 1863.
En 1863 : Couverture de l’Eglise puis en 1880 : Installation de l’orgue à la tribune.
En 1892 : Installation d’une troisième cloche. En 1926 : Décoration intérieure de l’église.
En 1934 : Electrification des cloches.
En 1936 :Affermissement des vitraux disjoints et pose d’une double cloison en verre cathédrale.
En 1937 : Installation du chauffage et construction des sacristies.
En 1947 : Remplacement complet de l’orgue.

 

 

Église de Bussang

L’église a été construite en 1733. Le clocher de l’église est le troisième, la date du dernier est sous le porche : 1894. Les deux clochers antérieurs furent détruits, le 1er par un incendie, le 2ème par la foudre. L’actuel qui parait rétréci a été voulu ainsi, le Conseil Municipal d’alors ne voulant pas se risquer à monter une troisième flèche.

L’église est dédiée à Sainte Barbe, patronne entre autres des mineurs. Le maitre-autel situé dans le chœur est celui que l’abbé Morizot a fait composer. C’est une pantographie voltaïque représentant la mise au tombeau.
Dans le chœur de magnifiques stalles et une chaire abbatiale, rappellent que les boiseries proviennent de l’abbaye de Moyenmoutier. Démontées à la Révolution française, entreposées dans les greniers de la Préfecture d’Épinal; elles furent achetées par la Commune de Bussang pour son église.

Quant aux stations de chemin de la croix, il est rare d’en voir d’aussi grandes. Elles ne sont pas signées, mais elles doivent aussi provenir d’une école de moines.

L’église de Bussang abrite  un orgue qui  a fait l’objet d’une protection au titre des monuments historiques en 2013 au même titre que les stalles, l’autel, le chemin de croix ainsi que les lustres. Cet instrument a été construit par le facteur d’orgues Jean-Nicolas JEANPIERRE en 1838. Il présente un intérêt important pour le patrimoine organologique des Vosges car il est un témoin intéressant de la facture d’orgues Vosgiennes du début du 19ème siècle. Il est composé de nombreuses pièces dont notamment 1 clavier de 56 notes.

Les portes sont ouvertes tous les jours de 10h à 16h sauf le dimanche et par grand mauvais temps.

 

 

Belfort et le Lion de Bartholdi

LE LION DE BELFORT est une sculpture monumentale en haut-relief du sculpteur alsacien Frédéric Bartholdi, située à Belfort au pied de la falaise de la citadelle. Elle représente un lion couché et blessé prêt à se dresser qui repose sur un piédestal en rocaillage et commémore la résistance de la ville assiégée par les Prussiens durant la guerre de 1870 à l’issue de laquelle la zone correspondant à l’actuel Territoire de Belfort sera la seule partie de l’Alsace à rester française.

LA CITADELLE : Dominant les rochers, elle s’impose sur Belfort. L’œuvre du comte de la Suze marque l’histoire de la ville qu’elle a en son temps protégée des assaillants. Fossés, remparts ou Tour des Bourgeois…

LE GRAND SOUTERRAIN : le Grand Souterrain et ses projections de haute volée offre une visite où modernité et patrimoine se marient dans une scénographie composée de panoramiques sons et lumières.

Visite de la vieille ville et de la Citadelle de Belfort avec LE PETIT TRAIN TOURISTIQUE pour découvrir la ville et ses monuments incontournables…

LA TERRASSE PANORAMIQUE : Située au dessus du Musée d’Histoire, elle offre une vue à 360° de la ligne bleue des Vosges aux contreforts du Jura, ainsi que sur la vieille ville de Belfort.

 

 

Église de Le Ménil

L’église Saint-Blaise de Le Ménil a été construite en 1733 et remaniée au cours du 19ème siècle.

Ses vitraux datent de 1947.

On peut y admirer un orgue fabriqué par Jean-Nicolas Jeanpierre en 1835 et transformé par Henri Didier en 1871.

Il est composé de boiseries en sapin et les tuyaux de façade sont en étain verni.

 

 

Église de Le Thillot

Les habitants de Le Thillot avaient initialement construit une petite chapelle qui était devenue trop exigüe pour la célébration des cultes.

Dès 1897, l’emplacement de la nouvelle église donne lieu à une polémique qui durera plusieurs années.

Le premier coup de pioche sera donné seulement en mars 1903 et la nouvelle église est finalement inaugurée en octobre 1904.

Une horloge à 3 cadrans est mise en place en mai 1909 par Monsieur Farini.

Les vitraux sont réalisés entre 1947 et 1949 par les ateliers Loire.

 

 

Église de Saint-Maurice-sur-Moselle

La paroisse de Saint Maurice qui s’étendait du Pont Jean au Col de Bussang est l’une des plus anciennes de la montagne vosgienne. D’abord désignée sous le vocable de Visentine, elle prit le nom de Saint Morise (Maurice) à la fin du XIIIème siècle ou au début du XIVè siècle.
Nous ne savons rien du lieu de culte qui fut le centre de la paroisse de Visentine puis Saint Maurice. La première mention d’un prêtre date de l’abbatiat romarimontain et laisse penser que, dès cette époque, une église desservait la Haute Moselle.

En 1663, l’église fut détruite par un incendie; reconstruite avec des moyens limités en raison des longues guerres de ce siècle, elle connut le même sort en 1701 ainsi que l’école bâtie à proximité.

Le 5 juillet 1725, la nouvelle église consacrée sous l’invocation de Saint Maurice et de ses compagnons martyrs, fut inaugurée officiellement par l’Evêque et Comte de Toul.  L’église contenait 350 places. S’avérant trop exiguë pour une population de 1750 habitants, la commune en 1863 confia l’étude d’un projet d’une nouvelle construction à l’architecte Perron de Remiremont. Celui-ci présenta une église à 3 nefs, de style ogival, d’une contenance de 1075 places pour un coût estimé à 140 000 francs.  L’emplacement du vieux cimetière fut choisi.

Les travaux sont adjugés le 10 avril 1866. Les vitraux peints, commandés dès 1867 sont l’œuvre de Thiriat, peintre sur verre à Metz. La guerre de 1870 retardera la pose des cloches. Ce n’est que le 31 août 1875 que Robert Hartmann, fondeur de cloches, s’engage à livrer une sonnerie parfaite composée de 4 cloches d’un poids total de 4500 kg. Les orgues furent offertes par des mains généreuses. L’horloge date du 15 août 1883.

 

 

Outils d’accessibilité
Votre recherche
Informations pratiques
  • Lundi, mardi, mercredi, vendredi et Samedi ;
  • de 9h à 12h et de 14h à 17h
  • Fermé le jeudi et le dimanche
Contact
8 avenue de la gare – 88540 BUSSANG
Tél : le 03 29 61 50 37