Le Bar-resto Le Calice propose des menus du jour du lundi au vendredi.
Repas à thèmes, concerts, location de tireuse à bière.
A la suite d’un incendie, le Calice est fermé temporairement.
Le Bar-resto Le Calice propose des menus du jour du lundi au vendredi.
Repas à thèmes, concerts, location de tireuse à bière.
A la suite d’un incendie, le Calice est fermé temporairement.
Café – Epicerie – Tabac – Française des jeux – Gaz – Décoration – Snacking – Produits régionaux, en bord de route avec un grand parking et une terrasse au calme.
Pour un beau plateau de fromages, venez nous voir !
Munster fermier, Petit gris, Carré fermier, Chic, blanc fermier, Crème d’Albert, Tomme, barkass, Yaourts, fromages de chèvres et de brebis.
Pour un beau panier garni : des bonbons, du miel, des confitures, de la bière, du Vin d’Alsace, des Alcools, des tisanes, des terrines, de l’Andouille, du saucisson sec, du fumé vosgien et bien d’autres produits encore.
Une production locale est sélectionnée !
Une boutique bien sympa où Karine vous y accueillera chaleureusement !
Fermé le mardi. Ouvert du lundi au samedi de 9h à 12h et de 14h à 19h. Dimanche et jours fériés de 9h à 12h.
Vous trouverez des distributeurs automatiques de billets ainsi que des banques :
– à Rupt-sur-Moselle : à la Poste et au Crédit Agricole,
– au Thillot : à la Poste, au Crédit Agricole, au CIC, au Crédit Mutuel, à la Banque Populaire et à la Caisse d’Epargne,
– à Saint-Maurice sur Moselle : au magasin Carrefour Market
– à Bussang : à la Poste, et au Casino ( pièce d’identité indispensable).
Vous trouverez leurs coordonnées dans la liste à télécharger ci-dessous :
Venez découvrir la passionnante histoire de la vallée de Saint-Amarin! Animé par l’Association des Amis et installé dans l’ancien tribunal – hôpital militaire pendant la 1ère guerre mondiale, le musée se déploie sur 4 niveaux thématiques. Des milliers d’objets sont à découvrir et permettent d’appréhender des thèmes aussi divers que les guerres, l’histoire ancienne, la tradition, la religion, l’industrie textile, la verrerie de Wildenstein, l’usine Vuillard – GPV, l’art local, les métiers anciens, les pompiers, les activités hivernales et la généalogie.
L’église Saint-Blaise du Ménil a été construite en 1733 et remaniée au cours du 19ème siècle.
Ses vitraux datent de 1947.
On peut y admirer un orgue fabriqué par Jean-Nicolas Jeanpierre en 1835 et transformé par Henri Didier en 1871.
Il est composé de boiseries en sapin et les tuyaux de façade sont en étain verni.
L’histoire de l’église Saint-Brice de FRESSE-SUR-MOSELLE :
Au 10ème siècle : Les habitants de la commune de FRESSE-SUR-MOSELLE appartenaient à la paroisse de RAMONCHAMP, chrétienté et doyenné de REMIREMONT, diocèse de TOUL.
Lorsque la commune de FRESSE-SUR-MOSELLE eut sa première église, elle reçut une contribution de l’église mère de RAMONCHAMP pour sa construction et son aménagement. Cette église n’était qu’une chapelle de secours et non un temple de culte.
Le 22 décembre 1640 : Permission de célébrer des messes de dévotion la semaine.
En 1665 : Faculté d’y administrer des baptêmes puis en 1737 : Date à laquelle la paroisse devient indépendante.
En 1741 : Installation d’un presbytère, son premier vicaire était Messire COUSERAT.
Le 05 juin 1803 : Premier curé de la paroisse, l’abbé BONNABE.
Le 04 décembre 1856 : Travaux de démolition de l’ancienne église qui tombait en ruines et de la construction de l’église actuelle. Celle-ci fut achevée, aménagée et ouverte au culte en 1863.
En 1863 : Couverture de l’Eglise puis en 1880 : Installation de l’orgue à la tribune.
En 1892 : Installation d’une troisième cloche. En 1926 : Décoration intérieure de l’église.
En 1934 : Electrification des cloches.
En 1936 :Affermissement des vitraux disjoints et pose d’une double cloison en verre cathédrale.
En 1937 : Installation du chauffage et construction des sacristies.
En 1947 : Remplacement complet de l’orgue.
LE LION DE BELFORT est une sculpture monumentale en haut-relief du sculpteur alsacien Frédéric Bartholdi, située à Belfort au pied de la falaise de la citadelle. Elle représente un lion couché et blessé prêt à se dresser qui repose sur un piédestal en rocaillage et commémore la résistance de la ville assiégée par les Prussiens durant la guerre de 1870 à l’issue de laquelle la zone correspondant à l’actuel Territoire de Belfort sera la seule partie de l’Alsace à rester française.
LA CITADELLE : Dominant les rochers, elle s’impose sur Belfort. L’œuvre du comte de la Suze marque l’histoire de la ville qu’elle a en son temps protégée des assaillants. Fossés, remparts ou Tour des Bourgeois…
LE GRAND SOUTERRAIN : le Grand Souterrain et ses projections de haute volée offre une visite où modernité et patrimoine se marient dans une scénographie composée de panoramiques sons et lumières.
Visite de la vieille ville et de la Citadelle de Belfort avec LE PETIT TRAIN TOURISTIQUE pour découvrir la ville et ses monuments incontournables…
LA TERRASSE PANORAMIQUE : Située au dessus du Musée d’Histoire, elle offre une vue à 360° de la ligne bleue des Vosges aux contreforts du Jura, ainsi que sur la vieille ville de Belfort.
La paroisse de Saint Maurice qui s’étendait du Pont Jean au Col de Bussang est l’une des plus anciennes de la montagne vosgienne. D’abord désignée sous le vocable de Visentine, elle prit le nom de Saint Morise (Maurice) à la fin du XIIIème siècle ou au début du XIVè siècle.
Nous ne savons rien du lieu de culte qui fut le centre de la paroisse de Visentine puis Saint Maurice. La première mention d’un prêtre date de l’abbatiat romarimontain et laisse penser que, dès cette époque, une église desservait la Haute Moselle.
En 1663, l’église fut détruite par un incendie; reconstruite avec des moyens limités en raison des longues guerres de ce siècle, elle connut le même sort en 1701 ainsi que l’école bâtie à proximité.
Le 5 juillet 1725, la nouvelle église consacrée sous l’invocation de Saint Maurice et de ses compagnons martyrs, fut inaugurée officiellement par l’Evêque et Comte de Toul. L’église contenait 350 places. S’avérant trop exiguë pour une population de 1750 habitants, la commune en 1863 confia l’étude d’un projet d’une nouvelle construction à l’architecte Perron de Remiremont. Celui-ci présenta une église à 3 nefs, de style ogival, d’une contenance de 1075 places pour un coût estimé à 140 000 francs. L’emplacement du vieux cimetière fut choisi.
Les travaux sont adjugés le 10 avril 1866. Les vitraux peints, commandés dès 1867 sont l’œuvre de Thiriat, peintre sur verre à Metz. La guerre de 1870 retardera la pose des cloches. Ce n’est que le 31 août 1875 que Robert Hartmann, fondeur de cloches, s’engage à livrer une sonnerie parfaite composée de 4 cloches d’un poids total de 4500 kg. Les orgues furent offertes par des mains généreuses. L’horloge date du 15 août 1883.
Boucherie – Charcuterie – Traiteur.
Produits du terroir, fabrication artisanale.
Horaires d’ouverture : du lundi au samedi de 8h à 19h et le dimanche de 8h à 13h.